ISR

La pandémie mondiale du Corona a marqué le neuf premiers mois de l’année et a provoqué des turbulences massives. Pendant cette période, les actions aux critères ESG les plus élevés ont mieux supporté le choc tous les mois, sauf en avril, que ceux étant moins bien classés ESG. C’est ce qu’ont montré les dernières analyses de Fidelity International sur la base de ses propres classements ESG.

Le Luxembourg Stock Exchange (LuxSE), primé par l’Organisation des Nations Unies (ONU), et l’agence internationale de conseil en stratégie et communication NextSee ont conclu un partenariat visant à renforcer l’éducation en matière de finance durable en France. Dans le cadre de cet accord, les experts de LuxSE interviendront en tant que conférenciers dans les cours dédiés à la finance durable de NextSee.

L’épargne, par divers moyens, influence et construit le monde actuel. Pourtant, lorsque l’on s’intéresse aux acteurs de l’épargne en France, on remarque qu’aucun ne permet d’investir uniquement de manière responsable tout en offrant de la liquidité ou une interface web un minimum moderne. Pire, la transparence est rarement de mise, que ce soit en matière de frais ou bien de composition du portefeuille.

Les forêts peuvent être valorisées non seulement pour leur bois mais aussi pour leur capacité à capturer le dioxyde de carbone. Pour l'investisseur soucieux des émissions de carbone, les investissements forestiers offrent donc un moyen de réduire l'empreinte de son portefeuille.

- Fidelity International a testé la relation entre qualité de la notation ESG et performance boursière des entreprises sur les trois premiers trimestres 2020, grâce à son système propriétaire de notation¹.

- L'étude² révèle une forte corrélation positive entre la performance relative d'une entreprise sur les marchés et sa notation ESG sur la période.

- Chaque niveau supérieur de notation ESG (allant de A à E) apporte une performance supplémentaire, selon une relation linéaire.

Les représentants du Parlement et des Etats membres sont enfin parvenus à un accord sur les grandes lignes de la future taxonomie européenne des activités vertes. Cette taxonomie vise à doter l’Union d’un catalogue unique de ce qui peut être qualifié de « vert » parmi les activités d’une entreprise. Avec deux conséquences vertueuses : le fléchage des investissements durables vers ces activités et la lutte contre le greenwashing.