Le point avec Catherine Costa, directrice du pôle solutions patrimoniales de Natixis Wealth Management qui prépare une conférence sur la question.
« Chaque situation étant unique, assurer la protection du nouveau conjoint et des enfants nés de précédentes unions et communs nécessite au préalable de s’interroger sur les contraintes rencontrées et les objectifs poursuivis, ce qui relève tout autant du psychologique que du juridique.
De fait, organiser sa succession dans ce contexte s’avère alors plus complexe : mesurer les impacts du passé, gérer le présent et anticiper l’avenir sont les mots clefs.
L’existence d’une précédente union peut avoir des effets qui perdurent au-delà de la rupture (prestation compensatoire, pension alimentaire, pension de réversion).
Le choix du nouveau statut matrimonial devra faire l’objet de la plus grande attention.
Des outils sont aujourd’hui à la disposition du conseil pour assurer la transmission dans les meilleures conditions possibles (assurance vie, donation-partage intégrant des enfants d’une précédente union, les legs graduels et résiduels, adoption de l’enfant du conjoint etc…) »
La suite, mardi 6 février, dans le cadre d’un petit déjeuner qui se tiendra à Paris à 9h.