Titre le quotidien Les Echos.
« Le Conseil des prélèvements obligatoires relève que, sur les 80 milliards de prélèvements sur le capital des ménages, 50 milliards, soit les deux tiers, portent sur la pierre.
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Les débats de l'automne sur le remplacement de l'ISF par l'IFI ont pu véhiculer l'idée d'une «rente immobilière » qu'il faudrait taxer davantage que les « investissement productifs ». Le rapport du Conseil des prélèvements obligatoires (CPO), publié ce jeudi, contient quelques données qui tordent le cou à ces a priori.
Le rapport relève que, sur les 80 milliards de prélèvements obligatoires sur le capital des ménages, 50 milliards, soit les deux tiers, portent sur l'immobilier. Aucune étape de la vie d'un bien immobilier n'échappe à l'impôt : il y a les droits de mutation lors de l'acquisition, la taxe foncière et éventuellement l'IFI sur la détention, l'impôt et les prélèvements sociaux sur les revenus locatifs, et éventuellement la taxation des plus-values ou les frais de succession. »
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