Aujourd’hui, jour du référendum britannique, Tim Stevenson, directeur actions Europe chez Henderson GI analyse le choc des générations au Royaume Uni.
« Les jeunes gens du RU semblent apprécier la valeur [de l’intégration culturelle] bien plus que leurs aînés, raison pour laquelle ils sont majoritairement en faveur du maintien au sein de l’UE. »
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« Un marché [européen] de plus de 500 millions de personnes est quelque chose d'extrêmement précieux pour l’industrie britannique. »
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« Nous n’avons pas encore trouvé [de sociétés européennes et britanniques dans lesquelles nous investissons] qui pensent qu’une sortie de l’UE serait profitable. »
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« Jamie Dimon, PDG de JP Morgan a récemment déclaré [qu’en cas de Brexit], la société pourrait n’avoir d’autre choix que d’y réorganiser son modèle économique, avec des milliers d’emplois menacés. »
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« Il n’y a aucune certitude quant au type d’accès aux marchés européens que le RU pourrait avoir (…). Il apparait absurde de s’attendre à ce que des pays comme l’Allemagne offrent des conditions commerciales plus favorables que celles consenties actuellement. »
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« Si nous quittons l’UE, il est probable qu’une récession s’ensuive, un facteur qui n’importe pas aux retraités, aux gens aisés… ou aux anarchistes. »
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« La grande majorité des règles et réglementations proposées par l’UE est tout à fait logique. Même si le RU vote en faveur d’une sortie de l’Europe, nous continuerons à appliquer ces règles. »
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« La non-adoption de l’euro a permis au RU d’éviter de devoir se confronter à [d’importantes] réformes (…). Les données mesurables suggèrent que les économies des nations ayant adopté la monnaie unique enregistrent des progrès. »
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EF/FL