Igor de Mack, gérant chez DNCA analyse la vie des marchés dans son point hebdo. Il semble que les marchés se soient aventurés en « terra incognita ». Extraits
« L'Europe est désormais prise au piège de ces référendums qui s'apparentent plutôt d'ailleurs à des ultimatums envoyés aux hiérarques de Bruxelles : la Grèce l'année dernière (…) la Grande-Bretagne en juin (…) et bientôt l'Italie (…) afin de négocier le refinancement de son système bancaire.
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Mais, si inachevée et imparfaite soit-elle, [l’Europe] a au moins le mérite de proposer un cadre de discussion (…) ce que l'inconnu et le vide politiques vantés par les populistes n'offrent pas.
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Les marchés actions évoluent en ce moment dans des volumes faibles car estivaux. Cela ne les empêche pas de progresser, l'indice américain S&P 500 ayant récemment franchi son plus haut historique.
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Même en Europe, [on constate] ce rebond des marchés actions alors que les flux d'investisseurs sortent toujours de cette classe d'actifs
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Cela signifie que les intervenants actuels sont des acheteurs/vendeurs marginaux et que les mouvements peuvent être assez violents à la baisse comme à la hausse dans une bande de fluctuation de 5 à 10%.
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Il est trop tôt pour identifier clairement les effets négatifs du Brexit sur l'économie de la zone euro.»
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EF/FL