Les marchés financiers ont été mis à rude épreuve, marqués par plusieurs indicateurs macroéconomiques décevants, une revue des anticipations de baisses des taux et une intensification des tensions géopolitiques entre l'Iran et Israël.
Le sentiment « Hawkish » a momentanément pris le dessus. Les données CPI de mars dernier et les discours des membres de la Réserve Fédérale ont plombé l’ambiance. Le président de la FED d’Atlanta, R Bostic a intensifié le décrochage des obligations en évoquant le scénario redouté d’un « no cut » pour 2024 qui a pris en probabilité jusqu’à 37% au cours du mois. Le calendrier de la baisse des taux a été largement remis en question, pour se stabiliser proche d'une baisse cette année aux États Unis et à quasi 3 en zone euro.
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