Face au ralentissement du marché du logement Outre-Atlantique, JP Morgan s’interroge sur les perspectives de cette classe d’actif et les conséquences en termes d’allocation. Extraits :
« Si les fondamentaux à court terme restent dans l’ensemble sains, les facteurs durables à plus long terme suggèrent (…) que le marché du logement approche de l’équilibre [et] que sa capacité à croître plus rapidement que le reste de l’économie pourrait s’estomper. »
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[En effet le taux de propriété] « aux États-Unis a progressivement reculé, (…) [il] atteint désormais son niveau le plus faible. »
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« Dans le cycle actuel, la disponibilité du crédit et l’accessibilité financière au logement exercent une contrainte sur les acheteurs potentiels. »
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[Toutefois] « la faiblesse des taux d’intérêt permet désormais à une famille aux revenus médians de faire face plus facilement qu’au cours de toute autre période antérieure à la crise à une charge de remboursement de prêt hypothécaire sur une maison neuve de valeur médiane. »
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« Alors que le PIB réel a progressé en moyenne de 2 % au cours des cinq dernières années jusqu’au second trimestre 2016, l’investissement immobilier résidentiel (RFI) a crû de 9,2 %, en progressant de 2,4 % en 2010 à 3,8 % au cours du second trimestre 2016. Cette expansion ne peut se poursuivre éternellement. »
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« Le stock de logements aux États-Unis ne dispose que d’une modeste capacité à croître plus rapidement que la population (…) »
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Rédaction/EV/EF