C’est le point de vue de Christopher Molumphy, directeur des investissements chez Franklin Templeton dans une analyse récente. Extraits :
« Historiquement, les élections présidentielles n’ont qu’un impact direct limité sur les marchés obligataires."
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« Ce sont les fondamentaux qui sont les moteurs de la performance à long terme sur les marchés obligataires. Par conséquent, les commentaires concernant l’impact des élections présidentielles sur l’économie et les marchés ont tendance à être exagérément pris en compte. Nous pensons que des questions bien plus importantes comme les résultats des élections à la Chambre des représentants et au Sénat sont éclipsées par la course à la présidentielle. »
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« Toutefois, nous pensons que l’élimination d’un degré d’incertitude après le résultat des élections américaines permettra de recentrer l’attention sur les fondamentaux macroéconomiques et les marchés mondiaux. »
« Impact des déficits sur la politique de taux d’intérêt : (…) nous ne pensons pas que ces élections vont radicalement changer la donne à court terme.
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« En termes de politique monétaire américaine, (…) le mandat de la Présidente de la Réserve fédérale (Fed) Janet Yellen s’achève en 2018. Par conséquent, nous anticipons aussi une certaine cohérence de la politique de la Fed pendant le mandat du nouveau Président des États-Unis. »
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EV/EF