David Ganozzi, gérant chez Fidelity, livre son sentiment sur le contexte économique et politique : derrière les enjeux politiques se cachent la croissance. Morceaux choisis :
« Tandis que les investisseurs prennent un peu plus la mesure du contexte politique imposé par le nouvel occupant du Bureau ovale, l’amélioration continue de la conjoncture mondiale tend à passer inaperçue.
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« … la tendance amorcée en fin d’année est bel et bien en accélération.
En zone euro, la croissance a atteint 1,8 % en rythme annuel l’an dernier (…). Parallèlement, l’inflation ressort à 1,8 % sur le premier mois de l’année - un plus haut depuis mars 2013.
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Même l’économie chinoise se prend aussi à rêver de jours meilleurs.
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Cette amélioration générale des conditions économiques aurait pu susciter une évolution dans le discours des banques centrales. Il n’en fut rien.
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En dépit de la perspective de jours meilleurs sur le front conjoncturel, les incertitudes - politiques notamment - qui planent sur les économies occidentales incitent à la prudence.
En Europe, les échéances électorales laissent à penser que rien ne sera annoncé ou entrepris avant le second semestre. Même son de cloche du côté de la Réserve fédérale qui semble vouloir se laisser le temps avant d’entreprendre une nouvelle hausse de taux.
Une période sans doute nécessaire pour observer les effets de la politique de Donald Trump sur l’économie américaine. »
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Rédaction/EF