C’est en effet ce qu’il ressort de l’analyse de Joost van Leenders et Colin Graham, membres de l’équipe de BNP IP. Extraits :
"La bonne orientation des statistiques économiques et l’amélioration des résultats des entreprises ont continué de porter les marchés d’actions.
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Cela semble confirmer que la reflation, qui doit conduire à une hausse de la croissance, de l’inflation et des bénéfices des sociétés, est perçue comme le meilleur pari par nombre d’investisseurs.
Nous ne sommes pas de cet avis.
Nous considérons que les valorisations des actions sont relativement chères et que la volatilité des marchés est très faible au vu des risques politiques et économiques persistants.
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Certaines propositions de l’administration Trump (…) pourraient avoir des effets bénéfiques, mais les incertitudes sont grandes et les sociétés pourraient opter pour l’attentisme.
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Au cours de sa dernière intervention, Janet Yellen a tenu un discours restrictif, signalant qu’il serait risqué de laisser l’économie américaine s’échauffer (…).
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[Il n’y a pas de] signal clair d’un relèvement des taux en mars, mais cette option reste d’actualité selon nous.
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La croissance du PIB de la zone euro s’est inscrite légèrement en dessous des attentes du marché.
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Aux États-Unis, la période de publication des résultats du quatrième trimestre 2016 s’achève et le bilan que nous en dressons est positif.
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La saison des résultats bat son plein en Europe. Jusqu’à présent, elle paraît moins robuste que celle observée outre-Atlantique.
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Nous sous-pondérons les actions, les obligations d’entreprises à haut rendement américaines et les obligations des marchés émergents libellés en dollars américains.
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Nous sous-pondérons également les matières premières, car nous ne percevons guère de potentiel de hausse supplémentaire des cours."
Pour accéder à l’intégralité de l’analyse, cliquez ICI.
Rédaction/EF/EV