Aujourd’hui, vous revenez sur les ETF et indice « smart béta »… de quoi s’agit-il ?
- Des ETF sur base « d’indices intelligents »
- 1ere génération d’ETF : sur les grands indices
- 2ème génération d’ETF : sur des indices sectoriels ou sous-sectoriels
- 3ème génération d’ETF : sur des indices « intelligents »
- Des indices « intelligents » qui vont plus loin que la pondération en fonction de la capi boursière
- Les indices RAFI : tient compte des fondamentaux
- Des indices qui tiennent compte du niveau de volatilité, etc, etc
- Aux Etats-Unis, les autorités s’inquiètent du développement des indices « smart beta »
C’est quoi le problème ?
- 2 types de problème
- ETF : => mouvements de foule
- Smart béta : complexité croissante de l’indice
- Difficulté à comprendre son fonctionnement
- Et à anticiper son évolution
- On annonce régulièrement des lancements de produits
- Il y a aussi des fermetures d’ETF : pas de marché
- Les volumes d’échanges parfois dérisoires : des ETF qui ont moins de 1.000 euros d’échange quotidiens ! Ce n’est pas spécifique aux indices intelligents
Des exemples ?
- Quand on achète un ETF on achète le marché
- Il faut que l’indice soit représentatif du marché,
- Ou tout au moins d’un marché : parfois il n’y a pas de marché (indice oncologie)
Qu’est-ce qui fait la qualité d’un bon ETF ?
- La qualité d’un ETF
- Transparent : on prend le béta du marché
- On évite le risque de gestion
- Frais plancher
- Voir aussi la qualité de l’exécution : écarts de prix par rapport au panier d’actifs
- Et enfin la qualité d’un ETF dépend aussi de la qualité de son indice !
Quels critères prendre en compte pour apprécier un indice ?
- Tous les indices ne se valent pas : le CAC 40 offre une meilleure représentativité et diversification sectorielle que le BEL 20 par exemple
- Quand on achète un ETF on achète le marché
- Il faut que l’indice soit représentatif du marché,
- Ou tout au moins d’un marché : parfois il n’y a pas de marché (indice oncologie)
- Un bon indice : a) est lisible b) offre un historique c) est communément admis par les opérateurs comme référence
C’est un peu un plaidoyer contre ces nouveaux indices…
- Non, il faut les prendre pour ce qu’ils sont
- Les indices « intelligents » réintroduisent une forme de gestion active ou systématique
- Et donc une couche de risque
- Pas sûr que tous les investisseurs individuels aient les moyens d’apprécier ces risques