Depuis plus de 15 ans et de manière mensuelle, une étude sectorielle ou thématique est réalisée par nos équipes ISR en collaborationDepuis plus de 15 ans et de manière mensuelle, une étude sectorielle ou thématique est réalisée par nos équipes ISR en collaborationavec des partenaires associatifs. Vous trouverez ci-dessous les principaux éléments ressortis de l’analyse du mois de septembre 2023sur la thématique de la biodiversité.
Nombre d’entreprises du secteur analysées : 8
Introduction :
L’homme fait partie intégrante de la biodiversité mais la menace de part ses activités. La biodiversité rend différents services nécessaires à notre vie surL’homme fait partie intégrante de la biodiversité mais la menace de part ses activités. La biodiversité rend différents services nécessaires à notre vie surterre, aussi bien d’approvisionnement, de régulation, de culture et de soutien. Ses services ont été estimés à 44 000 Mds par le WWF.
PRINCIPAUX ENJEUX DU SECTEUR
Un environnement dégradé
• D’après l’IPBES (2019), 75% de l’environnement terrestre, 40% de• D’après l’IPBES (2019), 75% de l’environnement terrestre, 40% del’environnement marin et 50% des rivières et cours d’eau ont déjà subiune grave détérioration. Seuls 13% des océans et 23% des terres surTerre peuvent encore être désignés comme « nature sauvage ».
• Environ 150 millions de tonnes de plastique étaient présentes dans les• Environ 150 millions de tonnes de plastique étaient présentes dans lesocéans en 2021, avec une augmentation annuelle de 4,8 à 12,7 millionsde tonnes dont les impacts néfastes sur la biodiversité sont directs.
Limiter les pressions sur la biodiversité marine
• L’Océan couvre 70,8% de la planète et constitue le principal espace devie sur Terre. Malgré notre connaissance partielle de la biodiversitémarine (nous estimons la part d’espèce connue dans l’Océan à 13%), lerythme de sa disparition est 100 à 1000 fois supérieur aux taux naturelsd’extinction.
• Quatre facteurs majeurs sont en cause : la surpêche sévie à l’internationalet la part du stock mondial de poisson géré de façon non durable aatteint 35,4% en 2019. Résultant d’activités économiques diverses, lesmétaux lourds impactent la santé animale et humaine. Largementconnus du public, les plastiques continuent de s’amasser dans lesocéans au rythme de 4,8 à 12,7 tonnes par an. Enfin, le réchauffementclimatique et notamment les vagues de chaleur et l’acidification desocéans impactent la biodiversité.
Cadre de protection et de restauration
• La COP15 fixe des objectifs globaux en matière de protection desécosystèmes ou encore de l’usage de produits chimiques jugés trèsnéfaste pour l’environnement.
• L’UE à fait passer une loi sur la restauration de la nature. La stratégiede l’UE a pour objectif de restaurer 20% des écosystèmes terrestres etmarins en Europe d’ici 2030, dans l’intérêt des populations, de la planète,du climat et de l’économie.
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