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Depuis le début de l’année, les participants de marché virevoltent d’une opinion à l’autre pour qualifier la trajectoire du couple croissance-inflation, au gré notamment de la parution des différentes statistiques. Pour ce faire, il est coutume d’employer le champ lexical de l’aviation. On parle alors d’atterrissage en douceur (soft landing en anglais), d’atterrissage en catastrophe (hard landing), voire pas d’atterrissage du tout (no landing). Il n’existe toutefois pas de définitions universelles pour tous ces embranchements, d’autant qu’ils sont le plus souvent utilisés pour caractériser l’économie américaine. Nous proposons cette semaine notre propre lexique pour tenter d’y voir plus clair.

C’était de loin la publication la plus attendue de toute la saison des résultats du 1er trimestre.

Tous les projecteurs étaient donc braqués sur le siège social de la société de Santa Clara ce mercredi soir, et plus précisément, sur son dirigeant Jensen Huang, telle une star de cinéma qui monte les marches sur le tapis rouge.

Les citoyens de l'UE se rendront aux urnes en juin. Kim Catechis, du Franklin Templeton Institute, nous explique les enjeux en termes d'investissement, ainsi que les principaux éléments à surveiller pour les investisseurs. 

La perte de biodiversité est un risque systémique et l'un des plus grands défis mondiaux de notre époque. La nature s'érode à un rythme sans précédent dans l'histoire de l'humanité et nous sommes confrontés à la perte irréversible d'espèces végétales et animales vitales, d'habitats et de cultures.

Retrouvez les perspectives des actions mondiales pour le T2 2024 : bilan des derniers mois, prévisions de croissance des bénéfices, impact de l'intelligence artificielle, et analyse des opportunités et risques des marchés américains et indiens.

Selon le dernier Global Dividend Index de Janus Henderson, les dividendes mondiaux ont atteint le montant record de 339,2 milliards de dollars au cours du premier trimestre. La forte croissance sous-jacente, de 6,8 %, a été le principal moteur de cette progression, bien que le montant global ait augmenté plus lentement (2,4 %) en raison de la baisse des dividendes spéciaux non récurrents. Les dividendes spéciaux sont restés relativement élevés par rapport à la plupart des premiers trimestres précédents - la baisse de cette année est simplement due à une base exceptionnellement élevée au premier trimestre 2023, influencée par seulement deux entreprises.