C’est à la Maison de l’Epargne que Yomoni a décidé de faire un premier bilan, 8 mois après son lancement.
Concrètement, on apprendra que la Fintech a été agréée par l’AMF fin 2015 en qualité de société de gestion de portefeuille. Et c’est heureux puisque la maison gère la part en UC de 9 profils d’investisseurs différents.
Notons par ailleurs, que le « robo-advisor » s’est entouré de partenaires tels que Suravenir et Crédit Agricole Titres. Ces collaborations permettent ainsi à l’équipe de développer ses offres :
- Le contrat d’assurance vie de Yomoni intègre dorénavant, le fonds en euros « Suravenir rendement », qui a présenté en 2015 un rendement net de 2,90%.
- Le partenariat avec le Crédit agricole permet à Yomoni de lancer son propre PEA, outre un nouveau compte titres.
Après un aperçu de la typologie de clientèle (30/50 ans ayant un profil dynamique disposant d’un horizon de placement moyen/long terme), l’équipe communique sur ses objectifs : on attend d’ici 2018, 10.000 clients et on espère gérer 1 milliard d’euros actifs à horizon 2020.
On ne connait en revanche ni l’encours géré, ni le nombre de clients… Juste le nombre d’utilisateurs du site (comprendre par-là les personnes ayant initié une simulation d’épargne jusqu’à la souscription), soit finalement un peu plus de 9.000 prospects.
In fine, c’est le lieu choisi et son exposition d’affiches dédiées à l’épargne qui a agrémenté une conférence qui nous ont laissé sur notre faim.
EF/FL