En juin, la maison fait le tour du monde et livre sa synthèse des marchés : entre risques identifiés et léger optimisme.
« Les contours du paysage économique mondial nous sont désormais familiers. Croissance médiocre, inflation faible, des politiques monétaires ultra-accommodantes, voire hétérodoxes, constituent notre ordinaire. »
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Les trois risques principaux identifiés :
- « Le risque Chinois
Comment la Chine arrivera-t-elle à changer de modèle économique, tout en préservant la stabilité de sa monnaie et de son système financier ?
- Le risque européen
Le Brexit, la crise des migrants, (…) risquent de faire voler en éclats le modèle européen, dont on sent qu’il est à bout de souffle.
- Le risque américain.
Risque de croissance [l’économie américaine manque-t-elle de ressort ?], risque politique avec la montée en puissance de Donald Trump, risque sur la politique monétaire : la Fed en fait-elle trop ou pas assez ? »
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Panorama économique mondial :
- « En Europe (…) le chômage recule, la croissance s’affermit (+2,4% annualisé au T1), aidée par la baisse des prix pétroliers. Néanmoins, la déflation reste présente et le contexte politique s’assombrit.»
- « Aux Etats-Unis (…) la faiblesse de la croissance est sans doute passagère. Toutefois, la faiblesse récurrente de l’investissement suscite des interrogations. La Fed n’arrive pas à remonter ses taux directeurs. »
- « En Chine : (…) les indices du climat des affaires s’améliorent, les fuites de capitaux s’assèchent : la Chine bénéficie d’une éclaircie économique. Mais l’endettement continue de progresser »
- « Au Japon (…) la consommation s’est contractée en 2015, et en dépit de la baisse du yen, les exportations stagnent. Malgré des profits en hausse, les entreprises japonaises n’investissent pas. »
- « Les émergents (…) la vie est dure [mais], la remontée récente des prix des matières premières et l’affaiblissement du dollar a permis d’apaiser les tensions sur les devises. »
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EF/FL