Dans sa dernière note sur les marchés, l’équipe de Fidelity revient sur les différents verrous qui immobilisent les actions européennes. Morceaux choisis.
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« Outre la politique, l’autre facteur à l’origine de la piètre performance des actions européennes a été l’incapacité des entreprises à accroître leurs bénéfices pendant près de sept ans, alors que les bénéfices des entreprises américaines et japonaises ont retrouvé leurs niveaux records.
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La nette amélioration des perspectives de croissance des entreprises est révélatrice de la situation macroéconomique relativement favorable en Europe.
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Les entreprises thésaurisent ; elles cumulent actuellement une trésorerie nette de 1.000 milliards d’euros à leurs bilans. Avec de tels niveaux de trésorerie et des taux d’intérêt bas, les perspectives sont excellentes sur le front des fusions-acquisitions ».
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