C’est en tout cas, ce que relève Aviva Investors, dans sa dernière note trimestrielle. Extraits :
« (…) La fin de l’ère des politiques monétaires extrêmement accommodantes, qui a suivi la crise financière mondiale, approche, ce qui permettra aux fondamentaux de regagner une plus grande influence sur les prix des actifs.
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Le PIB mondial pourrait augmenter d’environ 3,5 % cette année, soit le taux de croissance le plus élevé depuis 2011.
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Ian Pizer, responsable de la stratégie d’investissement d’Aviva Investors, a déclaré : « Près de dix ans après le début de la crise financière mondiale, les fondamentaux s’améliorent enfin et les investisseurs commencent à prendre en compte l’évolution positive de la conjoncture économique. »
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Nous préférons être exposés aux actions, plutôt qu’à la duration obligataire, tout en faisant preuve de sélectivité entre les classes d’actifs et les différentes zones géographiques :
Les Etats-Unis : le cours des actions américaines devrait refléter une amélioration des perspectives de croissance. La perspective d’une relance budgétaire devrait également favoriser les bénéfices des entreprises et accélérer l’ajustement des valorisations.
L’Europe : en termes de valorisation, les actions européennes sont toutefois plus attractives que leurs homologues américaines. Les obligations souveraines et le crédit en zone euro offrent un profil risque/rendement plus faible.
Le Royaume-Uni : [est] mis sous pression par les négociations liées au « Brexit ». Nous anticipons un risque de baisse sur les actions et obligations britanniques, sur lesquelles nous restons sous-pondérés. Nous sommes neutres sur la livre sterling.
Pays Emergents : les obligations et les actions des marchés émergents devraient bien se comporter à mesure que les fondamentaux reviennent sur le devant de la scène. (…) »
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EF/FL