« Dans le brouillard du Brexit, les entreprises gèlent leurs investissements » analysent nos confrères du Figaro dans l’édition du jour. Extraits :
« Le secteur automobile dans son ensemble reporte en masse ses investissements à des jours meilleurs.
Ce climat d’incertitude pèse sur la performance de l’économie britannique qui ralentit depuis un an.
La croissance du PIB a légèrement rebondi à 0,4% au troisième trimestre, par rapport aux deux précédents (0,3%).
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La Banque d’Angleterre se prépare à relever ses taux d’intérêt la semaine prochaine pour la première fois depuis 10 ans, une perspective qui accroit la nervosité chez les entrepreneurs.
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Cette attentisme concerne les entreprises de toutes tailles : « les PME ne se préparent pas au Brexit parce qu’elles ne savent pas à quoi s’attendre. Elles reportent leurs décisions d’investissements dans leurs capacité de production, les équipements et le recrutement », explique Suren Thiru, économiste aux British Chambers of Commerce (…).
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5 organisations patronales ont écrit lundi une lettre à Thérésa May pour l’appeler à sécuriser « d’urgence » une transition d’au moins 2 ans après la sortie de l’UE.
La première ministre a semblé indiquer qu’une telle décision serait prise seulement après la conclusion d’un hypothétique accord sur la future relation commerciale avec l’Europe, que l’on n’attend pas au mieux avant un an. »
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EF/FL