La 13ème édition du baromètre « Global Capital Confidence » concernant le marché des fusions acquisitions publié par EY ne manque pas d’enseignements. Il apparaît que les professionnels interrogés (quelques 1.600 dirigeants et responsables économiques répartis dans 53 pays) sont de plus en plus tentés par une opération externe : plus de la moitié des participants indiquent avoir au moins trois deals en cours. Surtout, une entreprise sur deux envisage d’acheter des actifs en dehors de son secteur d’activité historique.
Parmi les zones privilégiées : les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne, la Chine et l'Inde (l’Australie cède sa place à l’Inde par rapport à la dernière édition du baromètre). L’Australie et le Royaume-Uni seront les principaux investisseurs. « Les marchés matures continuent à conduire l’activité des fusions acquisitions et la zone euro concentre davantage d’intentions d’investissement. » indique Rudy Cohen Scali, associé d’EY responsable de l’activité Fusions et Acquisitions.
Notons enfin que les secteurs plébiscités en termes d’intention de fusions acquisitions sont : le pétrole et le gaz (69%), les biens de consommation (67%), les mines et métaux (67%), les produits industriels diversifiés (66%) et les « utilities » (65%).
EY a fait un focus sur le marché français dont il ressort que :
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FL/SL