Le conseiller entend souvent son client dire qu’il souhaite investir sur un contrat « qui rapporte » mais sans pour autant prendre de risque… Et si l’on pouvait bénéficier en sus d’une fiscalité avantageuse, on atteindrait le summum de la satisfaction !
Nul n’est besoin de rappeler que le Saint Graal n’existe pas. En revanche, et selon le profil de l’investisseur, il existe des alternatives qui permettent de diversifier son patrimoine, de jouer l’optimisation fiscale, et pourquoi pas d’obtenir un rendement.
Revenons sur les investissements immobiliers intra Union Européenne et hors Union Européenne.
EPI (European Properties Investment), conseil en immobilier, propose d’investir dans les grandes capitales européennes comme Berlin, Londres, Lisbonne ou encore Budapest. La société met en avant les conventions fiscales bilatérales pour bénéficier d’une fiscalité avantageuse.
Ainsi, par exemple, investir en Hongrie présente certains avantages fiscaux notamment au regard de l’ISF : en général, les revenus des biens immobiliers situés à l’étranger intègrent l’assiette taxable du résident fiscal français. Or, aux termes de l’article 23 al. 1er de la convention fiscale franco-hongroise, le Français qui investit en Hongrie n’aura pas à intégrer les revenus de l’immeuble situé sur ce territoire dans son assiette taxable ISF.
Osiris Investissements, conseil en investissement locatif à l’étranger vise, quant à lui, les acquisitions hors Union Européenne, telle que la Thaïlande ou Bali. L’entreprise met également en avant des conventions fiscales établies avec la France ou bien encore l’absence de taxe foncière.
A relativiser toutefois : certes la pression fiscale n’est pas la même qu’en France, mais, il convient de garder à l’esprit que le bien immobilier se situe à des kilomètres du propriétaire et que c’est la loi du lieu de situation de l’immeuble qui s’applique. Il est dès lors nécessaire de s’entourer d’un professionnel du droit in situ.
EF/FL