Les études universitaires tendent à établir que la performance tient plus à l’allocation qu’à la sélection de valeurs. A l’heure où la réglementation devient intraitable, Harvest en partenariat avec CPR ajoute un module « Smart Allocation » à son outil O2S.
Il faut être en mesure d’expliquer pourquoi on a recommandé tel fonds à son client, mais aussi d’indiquer quelles sont les raisons qui ont présidé à l’allocation recommandée. Autant dire que la gestion financière, après être devenue une affaire de spécialiste, est devenue une activité à risque.
D’où l’intérêt de la solution proposée conjointement par le gérant CPR et l’éditeur de logiciels Harvest : avec le module Smart Allocation, on dispose d’une solution optimisée d’allocation visant à faciliter le quotidien des utilisateurs d’O2S.
Pour cela, CPR AM se fonde sur ces équipes internes afin de définir les profils des investisseurs. La maison maintient 5 portefeuilles modèles d’allocation qui correspondent aux cinq profils de risque clients déjà disponibles dans O2S : Sérénité, Patrimonial, Flexible, Dynamique, Audacieux.
Les allocations proposées sont conçues en architecture ouverte, sur la base des 100 UC les plus référencées dans les 13 contrats d’assurance-vie majoritairement utilisés par les CGP.
Surtout, les produits maison occupent une place marginale dans la palette des fonds utilisés. Le but n’est pas de « pousser » les fonds Amundi mais d’être reconnu sur une fonction, l’allocation, qui est maintenant au cœur des préoccupations des professionnels (voir à ce sujet l’offre mise en place par Lyxor, sur la base de ses propres ETF ou d’ETF tiers, dans le cadre de gestions pilotées : Que donnent les gestions pilotées de Lyxor ?)