A l’instar du développement de la voiture sans conducteur qui pose de nombreuses questions en termes de responsabilité (qui est responsable en cas d’accident : le propriétaire du véhicule, le constructeur du véhicule, le fournisseur du logiciel, etc), le développement du conseil financier automatique ne va pas sans susciter de nombreuses interrogations, de nature assez similaire.
C’est pour avancer sur ce chantier que l’ESAM ( European Securities and Markets Authority) en partenariat avec EIOPA ( European Insurance and Occupational Pensions Authority) et l’EBA (European Banking Authority) lance une consultation sur un document de doctrine intitulé « Discussion Paper on automation in financial advice ».
Il est possible de réagir à ce document de travail jusqu’au 4 mars prochain, cliquez ICI pour consulter le document.
FL/SL