Octo AM - D’une année 2023 obligataire à une année 2024 qui pourra le rester... avec quelques nuances
Dernier hebdo d’une année 2023 qui, bien que volatile, a plutôt tenu ses promesses sur le marché obligataire avec un portage élevé en début d’année permettant d’absorber les chocs et de corriger tout ou partie des moins-values historiques de 2022. La plus grande surprise pour nous viendra de la persistance d’une courbe inversée, les investisseurs étant prêts à sacrifier 2% de rendement annuel pour se positionner sur des obligations souveraines de maturité 7 ou 10 ans plutôt que de suivre la BCE, pourtant persévérante dans ses propos tout au long de l’année.