C'est en tout cas ce que suggère Jean-Noël Vieille, directeur de la gestion chez 360 Hixance, dans sa dernière analyse, Extraits :
« Une question majeure devrait être le fil conducteur de ce mois de mai : les risques politiques sont-ils correctement intégrés ? La volatilité, (l’indice de la peur) est en effet revenue à un niveau très faible et ne correspond pas à une géopolitique toujours sous tension.
[…]
Les données macro-économiques n’offrent plus de surprises importantes et sont assez encourageantes. Nous restons toujours sur une lecture optimiste avec une tendance poussant les analystes à réviser en hausse les perspectives de croissance des résultats des entreprises.
[…]
La hausse des marchés que nous venons de connaître est cohérente avec le mouvement de reprise et avec la poursuite d’opérations spéciales telles que la reprise d’Havas par Vivendi sur des primes confortables.
Il existe donc encore un véritable potentiel de hausse mais nous pensons aussi que la volatilité devrait retrouver une certaine hausse en raison des incertitudes politiques et sociales qui restent encore vivaces, surtout en France.
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EF/FL