BNP Paribas Cardif vient de publier la nouvelle édition du baromètre du marché des CGPI et de leurs clients réalisé en partenariat avec Kantar TNS.
Cette étude a été réalisée sur les mois de mai et juin dernier auprès de 300 CGPI et de 500 clients patrimoniaux, c’est-à-dire disposant a minima de 75.000€ d’épargne.
Pas de grosse surprise quant aux principales préoccupations recensées chez les CGPI : la réglementation arrive en pôle positon suivie par « la recherche de nouveaux relais de croissance » et par la transformation digitale (1).
Le baromètre met l’accent sur la digitalisation et la nécessité pour les conseillers d’y recourir. Et pour cause, entre le temps consacré au développement commercial, l’établissement des préconisations, les formations, les relations avec les partenaires, les arbitrages et autres choix d’allocation, le CGP est un peu sur tous les fronts. Ils sont ainsi 82% à estimer impératif de se digitaliser.
Interrogés sur les priorités en la matière, « 72% d’entre eux citent le recours aux transactions digitalisées (souscription, consultation, signature de contrats…) et 52% évoquent le développement des outils de communication avec les clients (visioconférence, messagerie instantanée…) », révèle l’étude.
Ce phénomène contraste cependant avec le peu d’appétence des clients (54% des personnes interrogées) pour les transactions entièrement digitalisées.
Quoi qu’il en soit, « l’arrivée des nouvelles générations ultra-connectées devrait accroître la place du digital sans pour autant remettre en cause l’importance de la relation humaine. Face à cette évolution de la société, la digitalisation est perçue comme une opportunité par les CGPI : les nouveaux outils qui s’offrent à eux vont leur permettre de renforcer le lien qu’ils entretiennent avec leurs clients, tout en facilitant leur travail au quotidien », déclare Jean-Christophe Boccon-Gibod, responsable Partenariats et Digital Business de BNP Paribas Cardif.
Pour accéder à l’étude, cliquez ICI.
EF/FL
Voir aussi
(1) C’est à dire « la transformation digitale de l’activité » et « l’adaptation aux nouveaux outils digitaux pour communiquer avec les clients et gérer l’activité ».