« L’accroissement des besoins conjugué à des réserves qui se raréfient, poussent nombre d’industries à se réinventer technologiquement. La volonté de réduire ce déficit a engendré dans certains domaines, notamment énergétique et alimentaire, des mutations en passe d’être séculaires.
Qu’ils soient climatiques, environnementaux, énergétiques ou agricoles, les grands bouleversements des dernières décennies ont en commun de reposer sur le même phénomène : la croissance démographique (…).
Cet accroissement exponentiel pose aujourd’hui l’inévitable équation des ressources qui l’accompagnent. « La problématique de réduction du déficit structurel entre les besoins et les réserves est fondamentale parce que vitale pour l’humanité, résume Wesley Lebeau, gérant du fonds CPR Invest - Global Disruptive Opportunities (LU1530900684).
« Au sein de notre fonds le thème « Terre » regroupe un univers de secteurs hétérogènes (1)», résume Estelle Ménard, responsable adjointe de la gestion actions thématiques chez CPR AM (…).
Depuis de nombreuses années, l’accent est surtout mis sur les ressources énergétiques dont l’optimisation tient à de nombreux facteurs comme l’utilisation des énergies renouvelables (…). (2)
La gestion des ressources naturelles est aujourd’hui l’un des enjeux essentiels du développement humain. Partant du principe qu’il est nécessaire de trouver des solutions innovantes en la matière, les industries qui s’y attèlent sont à l’origine d’une disruption qui pour nombre de domaines sont encore en gestation.
« La sphère industrielle n’a pas tardé à être sensibilisée à cette thématique tant par les contraintes réglementaires qui lui sont imposées que par les retombées économiques qu’elles suggèrent », résume Wesley Lebeau (…) ».
Cet article a été rédigé par les équipes de CPR AM.
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Voir aussi
(1) Energies renouvelables, gaz et pétrole de schiste, agriculture de précision, ‘smart grid’, l’efficacité et le stockage énergétique.
(2)« Le soleil avec ses 90 000 terawatts, délivre en une heure et demie la consommation annuelle de l’humanité », explique Van Vu Ngoc, analyste chez Amundi. Dans le photovoltaïque, les efforts entrepris portent sur l’amélioration du rendement de la matière première à savoir le silicium. « Il y a sept ans, il en fallait huit grammes par watt, contre cinq aujourd’hui, souligne Van Vu Ngoc. »