Le recours aux marchés boursiers publics ne constitue plus un choix automatique lorsqu’il s’agit d’investir dans des sociétés, bon nombre de ces dernières préférant rester privées prévient Hervé Thiard, directeur général de Pictet AM.
Le cadre réglementaire, qui semble favoriser les sociétés privées par rapport aux sociétés cotées, n’est certainement pas étranger à la proportion croissante de sociétés privées.
Quelles sont les implications pour les investisseurs ?
Cette évolution représente un changement considérable pour les investisseurs en actions.
L’essor du capital-investissement, en particulier, est à la fois source d’enthousiasme et d’inquiétude. Enthousiasme parce qu’il devrait enrichir l’environnement d’investissement. Et inquiétude parce qu’il pourrait rendre la construction d’un portefeuille actions plus coûteuse et plus compliquée.
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