Le patron d’Upsideo entend préserver son indépendance ; et pousser les feux à l’international en 2019. Le recrutement est ouvert…
Environnement : La France est-elle réformable ?
Quand on voit ce qui se passe en ce moment, on peut s’interroger… mais il me semble que la majorité des Français ont donné un mandat à un Président qui n’a pas caché sa volonté de faire des réformes. Donc, je pense que oui.
Il faut garder à l’esprit que les réformes ne se font jamais sans résistances ; c’est normal.
Maison : L’époque est aux rapprochements, l’éditeur Upsideo peut-il continuer seul ? Quid de l’international ?
Je pense que plus que jamais qu’Upsideo peut poursuivre son développement tout seul. D’une part parce que nous avons plus de ressources pour cela. Et d’autre part parce que si à une époque certains clients ou prospects d’Upsideo pouvaient être des concurrents de Finaveo, et que cela pouvait générer de la confusion, ce n’est plus le cas aujourd’hui.
Nous avons plusieurs objectifs cette année : poursuivre la mise à niveau technologique de la plateforme commencée l’année dernière pour aller plus vers un modèle d’éditeur que d’intégrateur. Sur le second semestre de l’année, nous procéderons à une augmentation de capital. Et enfin recruter un directeur général pour lancer l’activité à l’international.
Métier : A quoi servent les ETF ?
En tant qu’investisseur privé on peut s’interroger sur l’intérêt d’utiliser certains gérants actifs qui n’arrivent pas, de manière récurrente, à surperformer leur indice…
Perso : Quelle est structure de votre portefeuille financier ?
Jusqu’à vendredi dernier (11 janvier) il était composé à 100% en titres Finaveo et Upsideo. Depuis ce n’est plus le cas. Je n’ai pas encore réinvesti mais cela se fera principalement en titres Upsideo.
Quand vous êtes entrepreneur, le plus logique est d’investir dans votre outil de travail.