Les rendements ont été en hausse sur la plupart des classes d’actifs, particulièrement sur les titres à revenu fixe. Nous ne craignons pas une récession imminente, cependant le dynamisme économique et les bénéfices faiblissent dans certaines régions.
Nous réduisons légèrement notre exposition aux actions, tout en étendant une partie de notre exposition à la dette publique (aux États-Unis). Nous supprimons les couvertures prises par précaution sur le yen.
Notre vision :
- Les actions offrent un bon rendement mais sont volatiles et complémentaires à d’autres classes d’actifs. Nous avons réduit notre exposition à sous-pondéré
- L’immobilier a le potentiel pour générer les meilleurs rendements. Nous restons à Maximum
- Le crédit high yield apparaît désormais plus intéressant. Nous sommes passés à Neutre
- Le crédit investment grade est préféré à la dette souveraine. Nous restons sur-pondérés
- La dette gouvernementale n’est pas attirante. Nous restons sous-pondérés
- Les marchés émergents demeurent le seul segment de dette souveraine présentant un profil rendement-risque attractif. Nous restons sur-pondérés
- Les rendements du cash sont bas mais stables et décorrélés. Nous restons à Maximum
- Les matières premières n’ont pas baissé. Nous restons non-exposés
- Le yen reste la devise internationale la plus attrayante, mais nous enlevons la couverture de change
Classes d’actifs où nous attendons les meilleurs rendements :
- Immobilier japonais – rendement absolu estimé à 13% sur cinq ans annualisé en dollar
- Actions zone euro – rendement absolu estimé à 11% sur cinq ans annualisé en dollar
- Dette souveraine émergente – rendement absolu estimé à 5% sur cinq ans annualisé en dollar
- Dollar – rendement absolu estimé à 2% sur cinq ans annualisé en dollar et bon en temps de crise
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Paul Jackson et Andras Vig sont membres de l’équipe de recherche d’Invesco.