A un moment où, avec la mise en place de MiFid II en particulier au niveau des rétrocessions, et où les contraintes en matière de reporting sont de plus en plus lourdes, il existe sans doute un gisement d’opportunité à exploiter pour les CGP. C’est en tout la solution de Metlife qui met en avant une offre spécifique, « Super Novaterm Prévoyance ».
Pour assoir son propos, l’assureur a publié une étude sur la prévoyance chez les indépendants, réalisé conjointement avec le CSA. Parmi les différents enseignements, il ressort que ce marché est encore relativement jeune, et affiche donc un beau potentiel de développement.
Selon l’étude de Metlife, parmi les points à améliorer dans l’offre à destination de ce public arrive en tête la question de la clarté. En effet, les indépendants ont souvent du mal à se repérer dans les offres qui leur sont faites en matière de dépendance, et donc à choisir. Le passage à l’acte pourrait donc être facilité.
Les offres ne seraient claires selon 66% des répondants et 49% d’entre eux attendent une documentation explicative plus limpide.
Cette enquête montre par ailleurs qu’une minorité seulement des indépendants connaissent le montant des régimes obligatoires en cas d’arrêt de travail, de décès ou d’invalidité ; respectivement 34%, 21% et 17%.
L’étude fait ressortir qu’un indépendant sur deux est protégé par un contrat de prévoyance ; reste donc l’autre moitié de la population à convertir.
Super Novaterm prévoyance, qui est disponible depuis septembre 2018, est l’offre qui répond le mieux aux besoins des indépendants, selon Metlife… Pour soutenir son action, Metlife s’appuie sur son réseau de 50 inspecteurs répartis sur toute la France.
Pour consulter l’intégralité de l’étude, cliquez ICI.