« Au cours des 16 dernières années boursières, l’indice Stoxx Small 200 a surperformé le Stoxx 600 à 12 reprises ! ». Pour Clémence Bounaix, co-gérante du fonds KBL Richelieu Medium Companies (FR0011689330) le constat est clair : la classe d’actifs offre un profil différentiant pour les investisseurs en mal de diversification.
Les arguments mis en avant par la gérante : une meilleure croissance des résultats, une prime de valorisation historiquement faible, une moindre volatilité que les grandes capitalisations et un gisement de valeurs européennes offrant une bonnes diversification géographique. En outre, à court terme, ces valeurs se sont révélées moins exposées aux pays émergents.
Le fonds Medium Companies investit au minimum 75% de ses actifs en PME et ETI, c’est-à-dire des entreprises comptant moins de 5.000 salariés avec un chiffre d’affaires inférieur à 1,5 milliard d’euros. Coté micro cap, l’équipe s’autorise jusqu’à 10% du portefeuille sur des capitalisations inférieures à 100 millions. À l’inverse, elle peut investir, si le besoin s’en fait sentir, jusqu’à 25% des actifs hors des critères d’éligibilité du PEA PME.
Last but not least, le terrain de jeu du fonds est susceptible de faire l’objet d’opérations plus ou moins hostile ou de fusions ; comme ce fut notamment le cas avec les sociétés Pace Group, USG People, Ipsen, Sorin, etc.
Depuis sa création il y a 2 ans, le fonds KBL Richelieu Medium Companies affiche une performance annualisée de 3,69%