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Les économies et les marchés financiers souhaitent que l'inflation atteigne ce seuil de référence, mais d'où vient cet objectif et dans quelle mesure est-il impératif ? 

Le mois de février a été marqué par la saison de résultats des entreprises, de bonne facture aux Etats-Unis et sans grand relief en Europe, que nous jugeons neutre d’un point de vue crédit.

Dans cette dernière vidéo, Vincent Chaigneau, Directeur de la Recherche chez Generali Asset Management, évoque le "miracle de l'Intelligence Artificielle" et le regain de confiance cyclique comme moteurs de la hausse des marchés d’actions en ce début d’année, alors même que les espoirs de réduction des taux d’intérêt se sont atténués. Il maintient son opinion positive pour 2024, tout en mettant en garde contre les signes d'exubérance récente sur les actifs risqués. 

L’investissement durable sera une tendance majeure dans les années à venir. Sécuriser des rendements actuellement attractifs grâce à des actifs de duration plus longue, comme les obligations vertes et sociales : telle est l’opportunité soulignée par David Zahn, Head of European Fixed Income pour Franklin Templeton Fixed Income. 

A retenir : 

• La chute de l’immobilier commercial américain pèse sur les petites banques, sans risque de crise systémique ; 

• L’Europe méridionale entame bien mieux l’année que les grands pays de l’UEM ; 

• Chine : records de voyages dans le pays, mais la crise immobilière pèse sur la consommation. 

L'or est un métal précieux qui a toujours fasciné et qui lui vaut d'être considéré par beaucoup comme une valeur refuge. Son utilisation remonte au moins au Ve siècle avant Jésus- Christ. Il est considéré comme le plus précieux des métaux, même s’il n’a pas toujours été le plus cher et le plus rare (le platine, par exemple, est produit dans des quantités bien moins importantes). Mais ses qualités en ont fait un métal de choix et sa faible utilisation industrielle en a fait essentiellement une réserve de valeur.