« L’incertitude, l’ennemi de la croissance britannique » titre nos confrères du Figaro dans leur édition du jour. Extraits :
« Si l’économie britannique n’a pas subi le choc brutal que d’aucuns lui prédisaient, le panorama tend à s’assombrir ».
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Philippe Hammond, le ministre des finances britanniques s’est inquiété (…) du report d’un large montant d’investissement tant que les milieux d’affaires n’y voient pas plus clair sur l’issue du Brexit.
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(…) l’investissement ne s’est pas effondré, mais il a ralenti. Or c’est un carburant essentiel du moteur britannique. Depuis le début de l’année, plusieurs indicateurs signalent un ralentissement de l’activité, qu’il s’agisse de la confiance des agents économiques, de la production industrielle, des ventes de détail.
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En dépit des risques inflationnistes, le gouverneur de la banque centrale, Mark Carney, juge prématuré de relever les taux d’intérêts, mettant en avant les risques que représente le Brexit pour l’économie.
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Sur 2017, les experts tablent sur un net ralentissement de la croissance, autour de 1,5%. « L’attentisme va perdurer, plus une extrême volatilité de la livre », commente Christopher Dembik, chef économiste de Saxo Bank.
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C’est illusoire de penser que la Grande-Bretagne pourra compenser une baisse des échanges intra-européens par plus de commerce avec le Commonwealth (…).
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La Grande-Bretagne reste très dépendante de ses partenaires européens. »
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EF/FL