Le point avec Carlos Hardenberg vice-président senior et directeur des stratégies des marchés frontières chez Templeton Emerging Markets Group. Extraits :
« Bien que les marchés frontières ne représentent qu'un petit sous-ensemble de l'univers des marchés émergents, nous estimons qu'il s'agit d'un groupe de pays important offrant un potentiel d'opportunités attractif ».
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Le volume quotidien d'échanges négociés sur les bourses des marchés frontières est de 2,1 milliards de dollars. Il est donc plus liquide que ne le pensent de nombreuses personnes.
De même, nous estimons que la capitalisation boursière totale des entreprises frontalières est de 1,7 mille milliards de dollars. Étant donné que de nouvelles sociétés entrent constamment sur le marché, nous prévoyons que ce chiffre continuera d'augmenter.
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« Beaucoup d'investisseurs ne devraient pas être surpris par le fait que les 10 économies les plus vigoureuses au monde à l'heure actuelle appartiennent à la sphère des marchés émergents. Mais ce qu'ils n'ont peut-être pas anticipé, c'est que si l'on fait abstraction de la Chine et de l'Inde, les huit autres pays les plus dynamiques sont en réalité des marchés frontières. »
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Dans le monde développé, notamment aux États-Unis et en Europe, de nombreux signes vont dans le sens de restrictions commerciales et de l'isolationnisme (…). Pendant ce temps, une tendance générale est observée dans les marchés frontières et certains marchés émergents, vers un effort de réforme discret mais prononcé.
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Actuellement, les actions des marchés frontières se négocient à des valorisations que nous considérons très bon marché par rapport à leurs homologues des marchés développés et émergents.
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En tant que classe d'actifs, les marchés frontières ont généralement très peu de corrélation [1] avec les marchés émergents, tels que la Chine, le Brésil ou l'Indonésie, ou avec les marchés développés, y compris les États-Unis, le Japon ou le Royaume-Uni.
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Rédaction