A lire dans l’édition du jour du journal Les Echos. Extraits :
« La croissance américaine. Si les prévisions restent optimistes pour la croissance dans la zone euro, celles concernant les Etats-Unis inquiètent, après un premier trimestre décevant et alors que les promesses de Donald Trump tardent à devenir réalité. « C'est la première source d'incertitude, reconnaît Hervé Goulletquer à La Banque Postale AM.
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La reflation. Le thème de la « reflation » a été l'un des moteurs de la hausse des marchés au premier semestre. Mais le ralentissement de l'inflation aux Etats-Unis et surtout en Europe est en train de gripper le mouvement.
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Le pétrole. La rechute du prix du pétrole véhicule trois idées négatives pour les marchés : le ralentissement économique chez les pays consommateurs (dont les Etats-Unis), le risque de déflation et enfin le risque de défaut pour les sociétés pétrolières les plus endettées.
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La Chine. A court terme, la Chine n'est plus perçue comme un risque, même si la volonté de Pékin de durcir les conditions de financement, afin de contenir la croissance du crédit, pourrait inquiéter les investisseurs.
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L’Italie. (…) la rentrée pourrait être plus agitée en Europe avec l'Italie. (…) L'avenir des banques italiennes, plombées par des milliards d'actifs non rentables, n'est pas encore réglé, alors que selon Franck Dixmier chez Allianz GI, « aucun parti n'a de proposition de résolution du problème bancaire en Italie ». Ensuite, l'économie italienne tourne au ralenti (0,8 % attendu par le FMI en 2018).
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La géopolitique. Les « épouvantails » du premier semestre seront toujours présents au second : la Corée du Nord et le Moyen-Orient.
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Les OPA. C'est un élément de soutien pour les marchés (…) « l'environnement financier est toujours favorable aux acquisitions, alors que les entreprises cherchent de nouvelles sources de croissance », constate la Société Générale. »
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EF/FL