Alors que certains se contentent de reproduire le communiqué de presse de l’AMF relatif à la cartographique des « principaux risques pour les marchés, l’épargne, la gestion collective et le financement de l’économie » (cliquez ICI), de notre côté nous avons lu les quelque 108 pages du document.
Ce qu’il y avait à retenir :
- Les Fintech : l’AMF alerte sur l’exposition du secteur financier aux cyber-risques liés au développement des Fintech (voir page 9 et suivantes).
- Les ETF : choses à noter.
- « L’expansion de la gestion indicielle engendre désormais, de par son ampleur, de nouveaux phénomènes de marchés et des possibilités plus importantes de mispricing, dont les externalités pour l’économie réelle sont encore mal appréciées ».
- Quid de « la potentielle illusion de liquidité que représentent les ETF, ainsi que leur rôle sur la liquidité des sous-jacents ? » (pages 71 et suivantes).
- OPCI. On connait l’attrait des investisseurs pour la pierre papier. Rien que sur les OPCI, l’AMF rappelle que ces véhicules « ont connu une année 2016 particulièrement dynamique » (page 89). Est mis en avant le risque d’une diminution des prix de l’immobilier pour les détenteurs de parts : « les ménages exposés à l’immobilier au travers d’investissements financiers seraient davantage pénalisés », indique le gendarme (page 92).
Pour accéder à l’analyse, cliquez ICI.
EF/FL