Les grands indices actions ont gagné près de 10 % depuis leurs plus bas niveaux de mars, ce qui paraît logique : les résultats des entreprises sont bien orientés dans une économie mondiale en croissance.
Mais parallèlement, note Jean Marie Mercaldal, directeur général délégué en charge des gestions chez Ofi AM, le contexte est préoccupant à plusieurs égards : troubles politiques et géopolitiques, hausse consécutive du pétrole, tension des taux obligataires américains, fin programmée des politiques monétaires ultra accommodantes, baisse du « momentum » macro-économique…
Dans ces conditions, nous pensons qu’il est opportun de réduire le risque des portefeuilles et d’alléger les positions en actions.
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