Si nous étions quelque peu iconoclastes, nous pourrions citer ce cher Blaise Pascal, lorsqu’il prétendait que « Dieu se rit des hommes qui pleurent les conséquences des causes qu’ils ont chéries », afin de décrire avec un brin d’ironie les contours de notre loi de finances 2021 : elle se veut une mise en application du Plan de relance annoncé l’automne dernier, lui-même conçu pour aider sous différentes formes nos entreprises à surmonter les difficultés à venir… qu’elles n’auraient peut-être pas autant rencontrées si on ne les avait pas empêché de travailler.
Mais se contenter de ce persifflage serait faire fi d’un environnement bien complexe, et se complaire dans un « y-a-qu’à » si facile qu’il en serait détestable.
Armons-nous donc d’un bienveillant réalisme pour commenter en quelques mots les dispositions de ce collectif budgétaire destinées aux entreprises qui nous paraissent essentielles, c’est-à-dire potentiellement précieuses pour nos entrepreneurs, et propres à concrètement les appuyer face aux défis qu’ils traversent ou vers lesquels ils s’acheminent.
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Vincent Morati, notaire
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