Le quotidien Les Echos se penche sur un phénomène en accélération : plus de 245 start-up françaises ont changé de mains l'an dernier, 34 de plus qu'en 2016.
Grands groupes et entreprises françaises ciblent les entrepreneurs de plus en plus précoces, et creusent l'écart avec les acheteurs étrangers, en particulier américains. Le réveil du CAC 40 et des entreprises françaises face au tsunami digital a alimenté la chasse aux acquisitions des pépites tricolores. BNP Paribas s'est offert Compte-Nickel, Carrefour Greenweez, tandis qu'Accor a mis la main sur trois cibles en douze mois ( VeryChic , Gekko et Availpro ), autant que La Poste ( Stuart , Ametix , KisskissBankBank ), Webedia (Myposeo, IDZ , uptilab) et Econocom (Lp digital, Biboard, Aciernet). Les groupes français ont ainsi racheté 45 start-up de plus qu'en 2016, soit 206 au total.
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