Le WWF croit aux green bonds, notamment pour accélérer la transition énergétique. Mais l’organisation, dans son rapport « Les obligations vertes doivent tenir leurs promesses » déplore l’absence d’un référentiel solide pour définir ce qu’est une obligation verte…
« Dans la plupart des cas, c’est l’émetteur lui-même qui définit ce qui est vert et ce qui ne l’est pas. Il existe donc un risque réel de « green washing ».
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« Des initiatives de normalisation existent (…) mais un travail important reste à accomplir pour sécuriser le développement du marché des obligations vertes. ».
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« C’est la raison pour laquelle, à travers son rapport Les obligations vertes doivent tenir leur promesse, le WWF appelle à des normes (…) suffisamment précises : seule une obligation pour laquelle l’émetteur peut démontrer des bénéfices environnementaux tangibles et mesurables, certifiés par un organisme indépendant devrait être considérée comme une « obligation verte ».
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« Les normes préconisées par ce nouveau rapport pourraient aider à structurer le marché des obligations vertes »
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« Sept éléments sont essentiels à la crédibilité du marché des obligations vertes :
Pour consulter le rapport du WWF, cliquez ICI.
EF/FL