L’engouement pour l’obtention du label ISR ne cesse de progresser, avec une évolution des encours sur les trois dernières années de 460 milliards d’euros à 746 milliards d’euros en 2015.[1]
Dans ce contexte, Mirova, filiale de Natixis, vient d’obtenir le label ISR non pas pour un, mais pour 21 de ses fonds.
La problématique des fonds ISR est double : ils doivent d’une part être attrayants pour les investisseurs en restant rentables et d’autre part répondre aux exigences « extra financières ».[2]
A ce titre, les 21 fonds de la maison investissent dans l’énergie, l’eau ou les obligations vertes et sans biais géographique déterminé, pour un total de 2,2 milliards d’actifs sous gestion, selon Mirova.
EV/FL
Voir aussi
[1] Selon l’étude Novethic qui est l’organisme certificateur chargé de filtrer les candidats (voir notre article)
[2] les critères « Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance » (ESG) constituent généralement les trois piliers de l'analyse extra-financière.