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Le scénario central :  L’inflation globale continue de refluer de part et d’autre de l’Atlantique comme attendu par nos banquiers centraux, néanmoins la composante cœur de cette inflation tarde à revenir vers l’objectif. Les Banques Centrales l’ont souligné et se montreront donc patientes avant de réduire leurs taux directeurs cette année. Les anticipations de marché se calent désormais sur nos attentes de début d’année, à savoir 3 à 4 baisses sur l’année avec un premier mouvement avant l’été.  

Retrouvez le commentaire de Martin WOLBURG, chef économiste de GENERALI INVESTMENTS suite à la réunion de la BCE.

Au coeur de la transformation numérique de nos sociétés, les semi-conducteurs constituent un catalyseur de premier plan pour réussir la transition vers une économie verte. En revanche, la dépendance à leur égard soulève de nombreuses questions et implique d’améliorer leur rendement afin d’optimiser notre consommation d’énergie.

Les économies et les marchés financiers souhaitent que l'inflation atteigne ce seuil de référence, mais d'où vient cet objectif et dans quelle mesure est-il impératif ? 

Le mois de février a été marqué par la saison de résultats des entreprises, de bonne facture aux Etats-Unis et sans grand relief en Europe, que nous jugeons neutre d’un point de vue crédit.

Dans cette dernière vidéo, Vincent Chaigneau, Directeur de la Recherche chez Generali Asset Management, évoque le "miracle de l'Intelligence Artificielle" et le regain de confiance cyclique comme moteurs de la hausse des marchés d’actions en ce début d’année, alors même que les espoirs de réduction des taux d’intérêt se sont atténués. Il maintient son opinion positive pour 2024, tout en mettant en garde contre les signes d'exubérance récente sur les actifs risqués.