S’interroge Frédéric Tixier du site spécialisé PierrePapier alors que ce marché naissant et en forte croissance attire désormais les investisseurs…
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Né au Danemark dans les années 60, mais développé à l’aube des années 2000 en Amérique du Nord, qui demeure son marché principal, le coliving recouvre encore aujourd’hui diverses réalités. Du simple appartement dédié à la colocation, modèle « auberge espagnole » à la Klapisch, il tend de plus en plus vers la résidence gérée 3.0.
Les structures dédiées à ce type d’hébergement proposent à la fois des appartements individuels et partagés, connectés à de larges espaces de vie communs et enrichis de services divers et variés, de la simple conciergerie aux salles de fitness ou de restauration. Des offres « all inclusive » permettent même de disposer d’un espace de vie clef en main, meublé, aménagé, et équipé de tous les services du quotidien (chauffage, électricité, wifi, ménage, blanchisserie…).
En France, cet écosystème de partage a déjà ses adeptes, qui ne se recrutent plus dans les seuls milieux étudiants. Et ses lieux emblématiques, comme le campus ECLA Paris Massy-Palaiseau, le Flatmates imaginé par Xaviel Niel, ou les pavillons La Casa en région parisienne. Aux côtés des plateformes internationales (WeLive, Common, The Collective…), des offres d’origine nationale commencent à voir le jour.
Après l’émergence des concepteurs et exploitants de résidences, comme La Casa, My Name is Bernard, The Babel Community ou Sharies, des opérateurs proposent de mettre en relation professionnels du coliving et particuliers attirés par cette nouvelle tendance. BNP Paribas Real Estate vient d’ailleurs d’annoncer le lancement de ColivMe, qui ambitionne de devenir la plateforme de référence dans ce domaine.
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